Malgré des annonces d'économies de gestion de 3 milliards de dollars, les investisseurs ne suivent plus et le cours de l'action ressemble à celui du gouvernement Ayrault après le (mini) scandale Cahuzac.
La presse se laisse aller à évoquer des séquences radicales, sans parler explicitement encore de faillite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire